A ma douce...


En mémoire de Romane.
Belle et intrépide Romane, tuée à l'aube de sa vie d'adulte par un homme ivre d'alcool, de vitesse et de bêtise.
http://romane16anspourtoujours.blogspot.com/2010/04/deux-hommes-en-noir.html

Comme nous manque la chaleur de ta présence, de ton rire, de ta voix. Ton intelligence, ton exigence et ton impertinence.

mardi 13 avril 2010

Zéphyr et Romane






















 Mes deux amours que je n'arrive pas à dissocier...
Mais je suis dans la vie mon Zéphyr, même quand j'ai l'air absente, je suis dans la vie avec toi.



Mam'

3 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est comme ça que je t'ai connu Romane, avec tes ailes de fée et ta bouille de blonde... Jamais je n'aurais pensé que tu nous quitterais si brusquement. J'aurais aimé apprendre à mieux connaître le petit bout de femme que tu es devenue. J'ai eu le temps, mais je n'ai su le saisir. Pardonne moi. Aujourd'hui je pense beaucoup à toi Romane, tu es à jamais dans mon cœur.
Vous formez une très belle famille Françoise, je vous souhaite beaucoup de bonheur avec votre petit Gustave. Prenez soin de vous.

Clémence B.

Anonyme a dit…

S’IL PLEUVAIT DES LARMES


S'il pleuvait des larmes
Lorsque meurt un amour
S'il pleuvait des larmes
Lorsque des coeurs sont lourds

Sur la terre entière
Pendant quarante jours
Des larmes amères
Engloutiraient les tours

S'il pleuvait des larmes
Lorsque meurt un enfant
S'il pleuvait des larmes
Au rire des méchants

Sur la terre entière
En flots gris et glacés
Des lames amères
Rouleraient le passé

S'il pleuvait des larmes
Quand on tue les coeurs purs
S'il pleuvait des larmes
Quand on crève sous les murs

Sur la terre entière
Il y aurait le déluge
Des larmes amères
Des coupables et des juges

S'il pleuvait des larmes
Chaque fois que la mort
Brandissant ses armes
Fait sauter les décors

Sur la terre entière
Il n'y aurai plus rien
Qu'les larmes amères
Des deuils et du destin.


Boris Vian

Anonyme a dit…

Nos chemins se sont croisés sur les bancs de l'école primaire. Je me souviens des après midi passé chez toi où nous aimions passé du temps à embêter ton frère. Nos chemins se sont séparés et nous ne nous sommes jamais recroisé mais cela ne m'empêche pas de me souvenir de ton visage, de ton énergie et de ta joie de vivre. Je pense souvent à toi. Tu resteras toujours dans mon coeur.

Mylène